. |
. |
. En 1732, le Marquis de Lucinges fait des échanges avec le curé Dumax : les ruines de l’ancien château Tour Rouge (certainement sises au no 191 et 192) vont servir de carrière pour l’édification de l’église commencée en 1731 puis du clocher en 1736 (no 182). On établit l’emplacement de sa construction sur un terrain mouvant correspondant aux résidus des fossés de ce château. L’instabilité du terrain nécessita au passage plusieurs réparations à l’église. Aujourd’hui encore, la nef de l’église repose sur une série de 13 pilotis l’empêchant de s’enfoncer dans le sol. La tour et ses ruines ont disparue par la suite. Le marquis possédait également ce que la mémoire collective a nommé le château blanc (no 108). Le cadastre le qualifie alors de « château ruiné ». Peut être que cette nomination est une erreur et que château blanc était en fait La Bordiaz (no 298 et 300). En effet, ce domaine était alors la propriété de noble Joseph de Châteaublanc, descendant de la famille de Lucinge. Ce qui est sûr, c’est que la propriété est la seule à ne pas avoir évolué depuis 1736. Ce que l’on nomme aujourd’hui le château de Lucinges était en 1736 propriété du marquis de Lucinge. À cette époque, on parle de « Maison et place » (no 177) ce qui représente une maison forte avec une cour fermée |
|
BORD1AZ (La). Fr. di St-Alban d'Hurt., nel mand. di Aiguebelle , prov. di Moriana.
BORDIAZ (La). Fr. di Lucinges, nel mand. di Annemasse, prov. del Faucignv |
. |
|
|
. |
. |
. |
. |
|
|
|
|
|
|